L'architecture qui dégenre est une plateforme qui questionne l’ordre dominant, construit l’égalité, édifie l’optimisme. L’asbl est un espace de partage des pratiques et des connaissances en rapport avec l’égalité architecturale, artistique et urbaine.
Initiée par l’architecte Apolline Vranken à l’occasion de la parution de son livre Des béguinages à l’architecture féministe (Université des Femmes, 2018), L’architecture qui dégenre est à l'initiative des premières Journées du Matrimoine en Belgique (depuis 2019) et de la Saison Matrimoine (depuis 2021). L'association crée et organise des visites guidées féministes, des formations et des workshops sur le genre et la ville. Elle accompagne également les architectes, urbanistes et décideur·euses pour intégrer la dimension du genre dans les projets d'architecture.
Pôles et outils
L’architecture qui dégenre asbl se compose de huit pôles différents ayant chacun des missions spécifiques. L’idée est de répartir les projets et proposer nos expertises au plus grand nombre. Chaque pôle est coordonné par une ou plusieurs membres de notre asbl. L’architecture qui dégenre est une plateforme qui questionne l’ordre dominant, construit l’égalité, édifie l’optimisme. Elle est un espace de partage des pratiques et des connaissances en rapport avec l’égalité architecturale, artistique et urbaine.
Évènements
Aucune activité en français n’est prévue prochainement.
Voir le programme en néerlandais ou en anglais.
Équipe
Depuis sa création, L’architecture qui dégenre n’a eu de cesse de s'agrandir et de compter dans ses équipes de plus en plus d’expert·es issu·es de divers horizons. Ainsi, architectes, anthropologues, archéologues, artistes, militantes, etc. tissent et nourrissent les différents projets de l’asbl.
À ce jour, sept membres se chargent de la coordination de nos différents pôles et de l’organisation de nos activités récurrentes. À celles-ci s’ajoutent un comité d’accompagnement chargé d’aider à la conception de la programmation des Journées du Matrimoine et de la Saison Matrimoine ainsi que plusieurs guides, photographes et graphistes qui permettent à L’architecture qui dégenre de travailler avec des expert·es de confiance et de nourrir nos processus de travail de leurs savoirs.